La belle Audrey nue dans un film de cinéma
Arrête de fantasmer sur Audrey nue, t’as aucune chance, nada, queue dalle. Je sais que beaucoup de monde fantasme à mort sur Audrey (nue chez elle en train de se laver la craquette)mais à part quelques scènes nue dans des passages un peu érotiques, vous n’avez aucune de la voir toute nue. Alors passer une nuit avec qu’elle, tu peux toujours de brosser. Mais des Audrey, rousse qui plus est, c’est pas ce qui manque. Je parle de meufs qui ont vraiment envie de se faire sauter comme dans un films X…
J’ai pour une Audrey nue, une meuf à prendre sans attendre …
Audrey La Coquine de Paris va être la vedette nue de « Prise en brochette ». Pour cela Audrey La Coquine de Paris nue a du poser nue pour le photographe de cul qui réalisera cette comédie de mœurs. Vous croyez à cette histoire de Audrey La Coquine de Paris nue ? Vous croyez que Audrey La Coquine de Paris aurait du poser nue comme une beurette rebelle bien cochonne ? Comme Malika par exemple ? Vous imaginez pour « ENCULE-MOI PROFOND » un casting de baiseuse avec Audrey La Coquine de Paris nue avec ses petits seins de salope ?
J’aime me rendre dans les Cévennes, une région du Gard agréable où règne le calme et l’austérité l’hiver. La fraîcheur du pays et de ses rivières attirent. C’est une journée de fin août. Vers 10 heures, je descends au village voisin, 5 km, faire mon marché. Le lundi, sur la place, quelques producteurs vendent des produits de qualité, loin des exigences européennes. En descendant sur ma petite 125cm3, à quelques kilomètres du village, je croise une jeune fille, petit short blanc moulant délicatement ses fesses, avec le petit pli de ces rondeurs bien attrayantes, et tee-shirt gonflant bien sa poitrine qui semble très ferme.
Je juge le temps incertain. Généralement fin août, nous avons droit aux orages et je décide de faire rapidement mon marché. En remontant je ne coupe pas à la pluie. Ma petite marcheuse est toujours sur la route et je lui propose d’enfourcher la moto pour la conduire au village et lui éviter qu’elle se trempe un peu plus. Je sens ses seins fermement plaqués contre mon dos. Elle me tient, entourant de ses bras ma taille, elle glisse sur le siège, se collant à moi à chaque freinage, j’avoue que mon sexe se dresse. J’arrive dans l’ancienne école où j’habite. Je propose à la demoiselle de se sécher un peu et d’attendre que la pluie cesse en ma compagnie.
Elle parle un peu le français et elle me précise qu’elle est Suisse Allemande et qu’elle s’appelle Martine. Ma proposition la séduit et je lui montre la salle de bain, lui offrant des vêtements plus secs pour mettre les autres à sécher. Je reviens dans la salle de bain, elle se trouve là, en soutien-gorge noir, une jolie dentelle, et son short. Je lui tends un pull, lui disant de faire sécher aussi son soutien-gorge, elle ne veut pas le poser, comme pour le short d’ailleurs, alors que je lui offre un pantalon de survêtement. Quant à moi je me mets nu devant elle et me change. Elle ne s’en offusque pas et regarde discrètement mon sexe un peu gonflé. Elle demande dans son français approximatif si tous les Français sont aussi décontractés.
Martine est une charmante brune, cheveux courts, coupés au carré, yeux marrons et ses formes sont fermes, très certainement. Elle doit avoir à peine 20 ans et du haut de mes 35 ans (à l’époque), je pense qu’il me plairait bien de lui donner un plaisir à la française.
Nous sommes dans le salon à bavarder un peu. La fenêtre est ouverte et le temps orageux donne cette impression de lourdeur où la chaleur enveloppe vos membres. La pluie a cessé et je lui propose une petite balade avant le dîner. Je lui fais faire le tour du village, descendant vers la rivière puis remontant à travers un bois pour reprendre entre la fraîcheur des maisons de pierres. Je lui prends la main, elle ne refuse pas, trouvant cette promenade assez romantique. Puis, je la prends dans mes bras pour l’embrasser. Elle me donne un baiser délicat et très sensuel, collant volontiers son corps contre le mien.
À la maison, je prépare un petit repas simple, salade verte et tomates, puis une grillade dans la cheminée, (histoire de redonner de la chaleur), pour finir par un bon fromage de chèvre affiné, comme je les aime.
J’ai débouché un petit Faugères (Mas des oliviers, vin de pays de l’Hérault). Elle apprécie beaucoup le vin et le repas. Je ne veux pas la saouler pour profiter d’elle, préférant que mes partenaires soient bien conscientes de mes délicatesses. La pluie a encore cessé après le repas et je m’inquiète qu’elle puisse partir. Elle me demande comment faire pour atteindre un lieu dit dans la montagne où, paraît-il, il y a une vue sur la mer. Je connais cet endroit et décide de lui montrer sur la carte que j’ai dans ma chambre. Elle monte avec moi, j’étale sur le lit la carte IGN et lui explique le parcours. Pendant mon explication le tonnerre gronde et la pluie, décidément mon alliée, reprend de plus belle. Je fais glisser mes mains sous le pull que je lui ai prêté et l’embrasse avec tendresse. Sa langue est fouilleuse, gourmande, envieuse, je l’imagine déjà autour de mon sexe qui bande. Elle est assise sur le bord du lit et je la pousse pour l’allonger délicatement, continuant à l’embrasser et à peloter ses seins, ayant relevé le pull.
Elle m’offre la vue de son soutien-gorge encore humide que je dégrafe rapidement. Lui prenant les tétons pour les faire saillir et les mordiller, je les presse, les pelote. Visiblement ses petits soupirs sont sans équivoque. Je lui fais sentir à travers mon pantalon ma queue raide contre sa cuisse. Tout en gardant mes lèvres occupées à ses seins, je descends une main sur son ventre puis tente de la passer sous la ceinture de son short. Elle ne me laisse pas faire, une petite réticence qui, je l’espère, tombera vite. Ses jambes pendent hors du lit et je pose ma main sur ses cuisses, la faisant remonter et tenter de lui écarter un peu les jambes qu’elle resserre, ne voulant toujours pas. J’insinue un doigt entre le tissu du short, il est tout de même assez serré et ce n’est pas facile, je ne veux pas lui faire mal en tirant trop sur le tissu.
Je décide autrement. Mes lèvres quittent sa poitrine gonflée au téton pointu par l’excitation et je les promène sur son ventre, son nombril, ses cuisses, remontant sur son pubis que j’embrasse à travers le tissu. Je défais finalement le short, elle est un peu plus consentante et le fait glisser, elle ne m’aide pas. Je continue à l’embrasser, à la caresser, ma bouche est active sur sa peau, tous les moindres recoins sont visités. Enfin, elle soulève d’elle-même les fesses et je peux lui ôter son short ainsi que le slip en même temps. Le short est si serré sur ses fesses que toutes ces petites barrières tombent. Je suis à genoux au pied du lit et le short glisse devant moi, m’offrant la vue d’une petite fente rose, luisante, avec quelques poils sur le pubis, une fine trace de poils sombres. Elle finit d’enlever le pull et le soutien-gorge, elle ne porte plus que ses baskets.
C’est alors que je lui ouvre les jambes tout en embrassant ses cuisses. J’écarte des doigts sa petite chatte, elle est mouillée, excitée, ce n’est plus la pluie mais son trouble qui l’humidifie. Je bande à me faire mal dans mon pantalon, seul vêtement qui me reste. Lui gardant les cuisses ouvertes, mes doigts fouillent sa chatte, elle se tord doucement sur le lit, soupirant, miaulant, comme un petit félin. J’enlève mon pantalon tant bien que mal et ma queue se dresse fièrement. Je vois qu’elle a ouvert les yeux pour voir mon membre et me sourit en le regardant. Je me remets entre ses cuisses pour l’embrasser, la lécher, je m’active, lui ouvrant de la langue son petit orifice, lui glissant un doigt, puis deux… Son petit trou est maintenant béant. J’investis délicatement un doigt dans son anus, elle a un mouvement de recul mais il entre, la mouille de sa chatte me facilitant le passage. De l’autre main, j’écarte largement sa fente, léchant comme un petit chat, puis l’ouvrant bien. Je souffle à l’intérieur pour la pénétrer de mon souffle chaud.
Elle a des soupirs plus profonds, des râles, son cul bouge pour se pénétrer avec le doigt bien au fond. Je ne comprends pas tous les mots qu’elle prononce en allemand mais, visiblement, elle prend du plaisir à cette petite escapade vacancière. Je remonte avec ma bouche sur son pubis, son ventre, ses seins, lui faisant sentir mon sexe dressé contre sa jambe et maintenant son ventre pendant que mes lèvres prennent sa bouche. Je sens sa main agripper mon membre et le serrer fortement. Elle se cambre et me guide entre ses cuisses, elle me parle, je comprends qu’il faut que je la pénètre et je fais glisser ma pine bien dure dans sa fente. Une fois bien au fond, elle m’enserre entre ses cuisses, me gardant ainsi sans bouger. Elle me murmure à l’oreille comme ma queue est longue et grosse et comme c’est bon. Puis elle me relâche et je commence à coulisser lentement en elle, lui faisant sentir le moindre centimètre de ma queue en la sortant, comme en la rentrant. Lentement je pénètre, je ressors, d’un léger va-et-vient profond, jusqu’aux couilles à chaque pénétration. Elle s’écarte au maximum, agrippée à mes fesses, elle vient avec son bassin à la rencontre de ma bite à chaque poussée. Son visage est délicieusement beau. Je vais et je viens en elle, la regardant soupirer, haleter, se cambrer, se tordre, tendre son bassin. Ses seins s’agitent sous mes pénétrations profondes. Son vagin se rétracte, je sens ma verge plus prisonnière encore et Martine s’agite à donner de grands coups de bassin pour que je la prenne plus fort. Mais ses cuisses qui m’enroulent ne me laissent que peu de manœuvre, je la pine plus fort, elle se met à jouir et crie. !