La sodomie de Scarlett
Un après-midi, comme je n’avais rien faire et que je n’avais plus un flèche en poche, Marilou dans la 5ème à Cagnes m’avait mis à poil, je déambulais sur la promenade en bord de mer. Ca reniflait la fin de saison, vus les mollusques qui larvaient paisiblement au bord de l’eau. Je songeais un instant me mettre à la colle avec une des gravos qui se tortillait sous mes yeux histoire de me refaire une santé le temps que mes allocs tombent. Mais me souvenant de ma dernière expérience avec une rombière du quartier qui estimait que je devait lui tarauder le joufflu deux fois par jour en échange de son hospitalité, je renonçais à cette idée. Mais j’avais quand même envie de baiser, y a des jours comme ça ou j’avais l’impression que mon cerveau se transformait en tête de pine.
Tout à ces réjouissance cérébrales, je n’avais pas remarqué une grognasse assez moche, allongée à une vingtaine de mètres de moi sur une serviette de plage en forme de tête de Mickey qui zieutait l’œil en coin en direction de mézigue : ce petit boudin, les nichons au vent matait en direction de ma queue en tortillant les bouts de ces tétons. Cette salope voyant que j’avais remarqué sa danse de femelle en chaleur, se coucha sur le ventre me montrant son cul cambré, sa main dans sa chatte faisant comme un gros coquillage dans sa culotte.
Lorgnant vers elle, j’écartais les jambes pour lui signifier que j’avais entendu son SOS. Scarlett, replia ses affaires, remis son clito entre ses nymphes et quitta la plage en passant à 10 centimètres de moi. Cette cochonne dégageait des effluves acres de chatte en plein rut. Discretos, je me levais et commençais à la filer à travers les rues de Nice. Ma bite n’en menait pas large devant cette morue qui tortillait du fion sous les sifflets des marlous du quartier. C’est dans une des rues du dédale de la vieille ville qui empestait un mélange d’urine croupie et de vieux poissons qu’elle disparue derrière une porte bringueballante. Je constatais qu’elle l’avait laissée entrouverte; je fis le pet deux ou trois minutes et je rentrais dans la piaule de la petite merdeuse.
C’était un boxif sans nom, des fringues et des franfreluches trainaient dans tous les coins. Une commode noircie par les ans était jonchée de babioles à maquillage, le lit défait, les draps jaunies au centre sentait la transpiration et la pisse de jeune fille. Tendant une portugaise curieuse, j’entendis l’eau couler dans la salle de bains : en tapinois je pénétrais dans la pièce, Scarlett était en train de se laver la chatte, de dos je pouvait voir sa main frotter la raie de son petit cul. Quand elle disparue, laissant la place libre, je mis la mienne d’un coup sec attrapant sa chatte et son anus en même temps. Scarlett eu un petit sursaut et cambra son tarpin vers moi en gémissant…